3 janvier 2007
#2 ~néant~
Je brûle de m'unir à toi mon amant, il me tarde tant de me fondre dans tes entrailles mon néant, dans tes profondeurs glaciales je trouverais repos et oubli du monde
Je brûle de m'unir à toi mon amant, il me tarde tant de me fondre dans tes entrailles mon néant, dans tes profondeurs glaciales je trouverais repos et oubli du monde
Ma vie pèse en poid mort sur mes épaules. La faim (fin) ma plume légere de délivrance, frêle et imprévisible, vibrante de mort. Car à ce moment où tout fini, je comprend que tout, un jour, a commencé.